Ces scientifiques internationaux du nucléaire

 qui travaillent pour Israël

CES SCIENTIFIQUES INTERNATIONAUX DU NUCLEAIRE QUI TRAVAILLENT POUR ISRAEL dans REFLEXIONS PERSONNELLES atome-5918e

**Ils travaillent à l’Agence Internationale pour l’Energie Atomique et leurs noms sont connus grace a des pirates informatiques !

Des hackers ont mis en ligne les noms d’une centaine de scientifiques internationaux volés sur un serveur de l’Agence Internationale pour l’Energie Atomique. Ils leur reprochent de travailler avec Israël. et ils sont directement impliqués dans des activités nucléaires en Israël.

Un acte sans précédent qui inquiète l’Agence Internationale de l’Energie Atomique.

Un site Internet a dévoilé dimanche des informations confidentielles relatives au programme nucléaire israélien. Des informations prélevées sur un ordinateur de l’AIEA que des hackers auraient réussi à pirater. Un acte sans précédent qui inquiète l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, laquelle mène depuis plus de dix ans une guerre sans merci contre le programme nucléaire iranien.
Des pirates ont publié une liste d’emails faisant état d’activités nucléaires menées en Israël, qu’ils auraient trouvés sur un ordinateur dont l’ip attesterait qu’il se situe en Autriche, base de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique.
« Parastoo » – c’est le pseudo sous lequel se cachent les pirates – publie par la même occasion une liste d’une centaine de noms, selon RFI, de personnes qui seraient directement impliquées dans des activités nucléaires en Israël.
Parmi cette liste, figurent 14 adresses électroniques renvoyant à des scientifiques, des physiciens moléculaires travaillant dans de prestigieuses universités françaises, dont celle de Jussieu, ou des laboratoires de recherche à l’image du CNRS, ainsi qu’une personnalité diplomatique, conseiller pour les sciences dans une ambassade française stratégique.
Mardi 27.11.2012, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique a confirmé avoir fait l’objet de vol de données hébergées sur un de ses serveurs qui, selon le gendarme du nucléaire, ne serait plus en activité. L’AIEA qui se veut rassurante, a exprimé sa vigilance et sa détermination à raffermir la sécurité de ses données pour prévenir d’autres fuites.
Un acte sans précédent qui, au moment où il est de plus en plus question de menaces et de frappes israéliennes contre l’Iran…
**Agora.Vox-28.11.2012.
***L’Agence Internationale pour l’Energie Atomique a été victime pour la première fois de pirates informatiques. Dimanche, un site Internet a publié des données secrètes sur le programme nucléaire israélien volées sur un serveur de l’agence basée à Vienne.Les hackers, qui agissent sous le nom de Parastoo – un prénom féminin populaire qui signifie «hirondelle» en farsi – ont mis en ligne une liste de noms et d’adresses mail de plus d’une centaine d’experts travaillant pour l’Agence. Les pirates laissent entendre que ces scientifiques auraient tous des liens avec Israël et le site de Dimona. Ce centre de recherches est généralement considéré comme le cœur du programme militaire nucléaire israélien, une information que Tel-Aviv ne confirme ni ne nie.

L’embarras de l’AIEA

Les hackers, qui rappellent que l’AIEA enquête depuis plus de dix ans sur les velléités iraniennes de posséder une arme nucléaire, exigent l’ouverture d’investigations publiques sur Dinoma, le site nucléaire israélien. À leurs yeux, les activités israéliennes représentent un plus grand danger pour la paix au Moyen-Orient que l’obstination de Téhéran.

Pour l’AIEA, cette brèche dans sa sécurité informatique est très gênante.Selon RFI, les noms révélés sont ceux de spécialistes internationaux, des physiciens moléculaires pour la plupart. Ils travaillent pour le département d’État ou pour celui de l’Énergie à Washington mais aussi en France. Quatorze d’entre eux sont employés dans des laboratoires de Jussieu et du CNRS ou comme conseiller dans des ambassades.

Les hackers n’ont adressé aucune menace précise contre ces scientifiques. Mais personne n’oublie que plusieurs scientifiques iraniens ont été assassinés dans des attentats ces dernières années.

L’AIEA s’est refusée à tout commentaire se contentant de reconnaître mardi que des informations avaient été dérobées sur l’un de ses anciens serveurs.

*Les Médias-28.11.2012.

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